Dossier

Top10desplusgrossescolèressuruncourtdetennis

S’il y a bien un sport où le mental est mis à rude épreuve, c’est bien le tennis! En effet, il est important d’être concentré jusqu’à ce que le dernier point soit joué sous peine de grosse désillusion. Oui mais voilà, avec une telle concentration, la moindre étincelle peut faire déjouer et dérailler la plupart des joueurs. Et parmi ceux-ci, certains sont connus pour avoir un peu plus les nerfs à vif que les autres.
On se souvient de notre cher Benoit Paire à la même époque à Rome l’année dernière !

E-TV Sport a donc décidé de revenir sur ces moments de folie des joueurs et joueuses de tennis sur un court de tennis!

Grigor Dimitrov en finale d’Istanbul face à Diego Schwartzman 1 Mai 2016: 3 raquettes détruites et un jeu de pénalité !


Istanbul – Dimitrov pète un plomb (et 3 raquettes) par Omnisport-fr

Marcos Baghdatis/Stanislas Wawrinka en 2012 à l’Open d’Australie: 4 raquettes détruites pour le Chypriote

Daniel Koellerer/Pablo Cuevas en 2010 au Pekao Open (challenger): Une belle simulation de la part de l’Autrichien

Xavier Malisse/David Ferrer en 2005 à Miami: Le Belge devient littéralement fou

John McEnroe/Tom Gullikson en 1981 à Wimbledon: Big Mac nous réserve son célèbre « You cannot be serious »

Mikhail Youzhny/Nicolas Almagro en 2008 à Miami: Le Russe s’autofrappe avec sa raquette

David Nalbandian/Marin Cilic en 2012 lors de la finale du Queens: L’Argentin frappe le juge de ligne dans un excès de rage et se retrouve disqualifié.

Andre Petkovic/Zarina Dyas en 2015 à Dubaï: L’Allemande se la joue McEnroe et s’en prend à l’arbitre de chaise

Marat Safin/Felix Mantilla en 2004 à Roland Garros: Le Russe baisse son short sans aucune raison apparente

Serena Williams/Kim Clijsters à l’US Open en 2009: L’Américaine fonce vers un juge de ligne et le menace pendant de très longues secondes. C’en est trop pour l’arbitre : point de pénalité et donc victoire de Clisters dans la confusion la plus totale. Serena ira tout de même embrasser son adversaire à la fin de la rencontre. Fair-play.

Fernando Verdasco/Richard Gasquet à Nice en 2010: L’Espagnol pète complètement les plombs et insulte Gasquet et le public français à coup de « Puta Madre » ou encore « Frances de mierda ».